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Source : Site officiel de Sisteron

Les réactions de Ligue 2 après la 26ème journée

Patrice Carteron, entraîneur de Dijon (0-0 contre Laval) : "Avec un point, nous sommes déçus. Je Pense nous aurions pu l'emporter lors des 20 dernières minutes."

Daniel Sanchez, entraîneur de Tours (1-3 contre Ajaccio) : "On réalise une 1ère mi-temps correcte, mais on commet trop d'erreurs techniques ensuite. Un relachement qui me met en colère."

Olivier Pantaloni, entraîneur d'Ajaccio (3-1 à Tours) : "On a eu du mal à démarrer, conséquence de notre déplacement folklorique. Mais en deuxième période, l'égalisation nous a libérés. On se rapproche du maintien."

L'équipe d'Ajaccio n'a pu décoller d'Ajaccio qu'à 15h00 au lieu de 9h00 en raison d'une grève des aiguilleurs du ciel. Le début du match fut retardé de 30 minutes.

Idriss Ech Chergui évoque sa première participation à la Ligue des Champions d'Afrique avec un déplacement en Gambie.

«Je suis avant tout impatient de découvrir pour la première fois cette compétition dont tout le monde parle. D’après mes partenaires qui sont plus expérimentés, ce genre de rencontre est caractérisé par de grands duels physiques, plus que techniques ou tactiques. De plus, l’arbitrage est remis en question à chaque reprise. Ce qui est certain, c’est que nous ferons le nécessaire pour revenir à la maison avec un résultat positif en prévision du match retour.»

Par ailleurs, la délégation algérienne a attendu 2 heures à l'aéroport gambien l'arrivée d'un représentant du club local, ce qui a fait réagir l'entraineur suisse de la JSK, l'ancien milieu stéphanois et capitaine de la Nati, Alain Geiger :
«Il est vrai que c’est la première fois de ma carrière que je vois un truc pareil. C’est vraiment insensé. Mais bon, c’est une façon de déstabiliser l’équipe. Cela fait partie de la guerre psychologique d’avant-match. Mais je pense que nous avons su gérer nos nerfs. Il ne fallait pas s’enflammer, car leur but était justement de nous déstabiliser. De plus, ce sont des anglophones. Ca ne sert à rien d’essayer de discuter avec eux puisqu’ils ne comprennent même pas ce qu’on dit. On a gardé notre sang-froid, afin que les joueurs restent le plus concentrés possible sur le match.»

Source : Le Buteur

Les réactions des entraîneurs de Ligue 2 passés par Saint-Etienne après la 24ème journée disputée vendredi soir

Daniel Sanchez et Yvon Pouliquen après Tours-Metz (1-1)

Daniel Sanchez : "On a bien maîtrisé la 1ère période et on menait au score logiquement. Mais on a manqué de lucidité en faisant cadeau d'un pénalty à Met alors qu'il n'y avait pas danger."

Yvon Pouliquen : "Il s'agit d'un nul équitable, même si je regrette le trop grand nombre d'occasions concédées. On a été parfois déficient dans notre bloc équipe."

Patrice Carteron (Dijon) après Bastia-Dijon (3-4)
"Je suis très fier de mon équipe, qui a su ce soir, dans un contexte difficile, garder la tête froide et ne s'est pas laisser impressionner."



 

Source : France Football

Julien Sablé, la galère que vous avez vécu à Lens semble terminée depuis que vous avez signé à Nice la saison dernière. Pourtant, depuis quelques matches, vous n'êtes plus titularisé par Didier Olle-Nicolle. Que se passe-t-il ?
« C'est vrai que je joue beaucoup moins qu'avant. Mais c'est parce qu'il y a beaucoup de concurrence maintenant. Alors c'est sûr, comme tout compétiteur qui se respecte, je ne saute pas de joie. Mais je me sens toujours bien à Nice. Ce n'est pas comme lorsque j'étais à Lens, que je ne jouais pas parce que j'étais mauvais. Certes c'est frustrant, mais j'assumes. Ce n'est pas un hasard, je suis conscient de la situation. Le coach cherche simplement la bonne formule. Et puis c'est la performance du collectif qui prime.

Cela doit être difficile à vivre tout de même...
Avec l'âge, je prends le recul nécessaire. J'ai donné le maximum à chaque fois que j'ai joué. La position de Didier (Olle-Nicolle) n'est vraiment pas facile et je le comprends. De toute façon, Hellebuyck, Mounier ou encore Echouafni sont dans le même cas que moi. Il faut dire que l'arrivée de Digard et le repositionnement de Coulibaly en milieu défensif ont changé pas mal de choses.

Nice n'a plus gagné le moindre match depuis le 22 novembre dernier contre Toulouse (1-0). Croyez-vous que le club peut redresser la barre ?
On sent de la consistance dans notre jeu depuis deux matches. Les choses changent, on l'a vu contre Auxerre (0-1) et Lille (1-1) même si on n'a pas été récompensé. La raison est simple : le groupe, habitué aux blessures et suspensions, est au complet pour la première fois de la saison.

Qu'envisagez-vous de faire la saison prochaine ?
Je me bats pour être dans le groupe en permanence. Mais ce qui est primordial, c'est le maintien. Il me reste encore deux ans de contrat. Après on verra. Je suis bien ici. J'ai retrouvé la plénitude de mes moyens et la joie de vivre. Là, c'est le vrai Julien Sablé même si cela ne suffit pas. Et c'est frustrant pour moi car je n'ai été titulaire qu'à 12 reprises en championnat et lorsque j'ai été sur le banc, je ne suis jamais rentré en cours de jeu. Mais bon, le coach dit qu'il faut le «séduire» en permanence donc je sais ce qu'il reste à faire.

Loïc Rémy a été pris à partie par des supporters de l'OGC Nice le 20 janvier dernier. Qu'elle a été votre réaction ?
Quand on insulte un joueur, c'est compréhensible car nous faisons un métier public. Mais quand on touche à l'homme, c'est beaucoup plus difficile à accepter. Là, c'est allé trop loin. On a tous été proche de lui. Cela n'a vraiment pas été facile. Comme je dis, on peut critiquer, insulter, tant que ça reste dans le cadre du foot. Mais pas en dehors. En tout cas, tant mieux pour nous qu'il soit resté. On a besoin de lui... »

Propos recueillis par John FERREIRA

Source : France Football