www.anciensverts.com

FREDERIC ANTONETTI fait le point sur son groupe, entre le stage à St-Martin et le déplacement à Paris.

Voici les réactions des entraineurs de Ligue 2 passés par Saint-Etienne après la 29ème journée.


Olivier PANTALONI (entraîneurde l’AC Ajaccio, victoire 1-0 à Angers) :« C’est un excellent résultat, grâce à une bonne entame. J’aurais aimé qu’on pousse les Angevins dans leurs derniers retranchements. On a eu tendance à trop reculer. »

Philippe MONTANIER (entraîneur de Boulogne, victoire 1-0 à Sedan) : « On continue de regarder vers l’avant. Ce soir, on fait un match plein. Ça paraît peu probable de revenir sur le troisième, mais on sera motivés pour finir le plus haut possible. »

Thierry LAUREY(entraîneur d’Amiens, défaite 0-2 à Clermont) : « Je pense que Clermont a eu un peu de réussite mais a surtout été plus efficace que nous. On a eu les occasions pour revenir. Notre situation se complique, ne pas avoir d’inquiétudes serait suicidaire. »

Ce vendredi soir, plusieurs AV ont marqué :

- Ousmane Sarr (Troyes) contre Strasbourg à la 55ème minute (1-2)
- Loïc Chavériat (Sète) contre Gueugnon à la 9ème minute (1-0)
- Pape Sarr ( Paris FC) contre Niort à la 66ème minute (1-1)

En stage aux Sables d'Olonne jusqu'à samedi, les joueurs du FC Nantes ont suivi un consistant programme physique. Pour autant, les Canaris ont pu se détendre, notamment à l'occasion d'une chasse aux trésors, et se payer quelques tranches de rigolade. Même en ces temps de difficultés sportives, Jérôme Alonzo souligne l'importance de ces instants de convivialité sur le moral du groupe. «On travaille beaucoup à l'entraînement. Mais ce qui est important, c'est ce qui se passe autour du terrain. Ca me semble indispensable dans la période qu'on vit», déclare le gardien nantais sur le site officiel du club.

Le portier y voit d'ailleurs les signes d'un futur meilleur. «Le mental et le physique. Les deux vont de paire. Je fais partie de ceux qui pensent que le mental est plus important. Physiquement, on travaille beaucoup. C'est costaud. Il était important de se retrouver ensemble, loin de chez nous. On bosse vraiment dur.Je suis plutôt optimiste et superstitieux. Je ressens de bonnes vibrations.» Seizième de Ligue 1, le FC Nantes rencontre en amical le FC Lorient, ce vendredi, à la Roche-sur-Yon (18h30). Pour la reprise du championnat, le FCN accueillera Lille, le 4 avril prochain.

Source : l'Equipe

Souvenirs. Le superviseur lorientais a été durant deux saisons le meneur de jeu des Verts. Un souvenir inoubliable.

Stéphane, on vous devine heureux à l'approche de ce Lorient - Saint-Etienne ?
Vous plaisantez ? À l'aller déjà, la rencontre promettait les pires lendemains à l'équipe qui perdrait. Ce choc me fait mal. J'aurai préféré que les deux équipes aient quelques points de plus, qu'elles soient sauvées même. Car l'équipe qui s'inclinera sera en grand danger.

On vous devine néanmoins inquiet pour les Verts ?
J'espère qu'ils ne vont pas descendre, mais tout le monde garde en tête les exemples de Nantes il y a deux ans, de Lens la saison dernière. On pensait que ces gros clubs allaient s'en sortir et ils ont fini par plonger en L2. Mais c'est désolant de voir Saint-Etienne relégable, la conséquence peut-être d'une certaine instabilité.

Et pourtant, sur le papier, elle a belle allure cette équipe de Saint-Etienne.

L'effectif est de grande qualité. Elle a d'ailleurs prouvé sur la scène européenne qu'elle pouvait largement rivaliser avec des grands d'Europe, mais quand le doute s'installe dans les têtes... En championnat, les Verts ont le couteau sous la gorge. On vit un peu la même chose à Lorient.

Ce soir, vous serez supporter de Lorient ou de Saint-Etienne ?

De Lorient qui reste mon club de coeur, le club qui m'a révélé et où j'ai bouclé ma carrière. Le club qui est aussi aujourd'hui mon employeur. Mais après, il restera neuf matches aux Verts pour relever la tête.

Vous avez porté des maillots prestigieux (Lens et le Paris SG), joué dans des stades magiques (Bollaert et le Parc des Princes), mais votre coeur semble vert...

(il coupe) « Sainté » c'est le club que j'adore, tout le monde le sait. Tout gosse déjà c'était le club de mon coeur. Je suis né en 1971 et quand j'étais gamin c'était la période Platini. J'ai toujours aimé ce club, toujours rêvé d'y jouer et je n'ai jamais été déçu. Je garderai à jamais la fierté d'avoir porté le maillot vert.

Vous y avez connu deux saisons contrastées.

La première, nous finissons sixièmes (1999-2000), la seconde avec l'affaire des faux-passeports on a été relégué. Sans cette relégation qui a entraîné mon départ à Lens, j'aurais aimé y finir ma carrière, j'aurais aimé y connaître l'Europe. Le contexte était particulier, c'est aussi pour cela que le club a du mal à se stabiliser, alors qu'il y a tout pour faire un gros club.

Notamment le Chaudron !

Le stade Geoffroy-Guichard est exceptionnel, tout comme les supporters. J'ai eu la chance de marquer lors d'un derby contre Lyon, j'ai répondu à Sonny Anderson. Rien que d'en parler, j'en ai des frissons. Je n'ai aucune mémoire mais ce but je m'en souviens. Et cela me prend à chaque fois que je regarde à un résumé à la télé et que Saint-Etienne marque. Lors du match aller, j'ai accompagné la délégation lorientaise. Avant le match à proximité de la boutique des Verts, les amis, qui m'accompagnaient, ont été surpris de voir à quel point un ancien Vert sera toujours estimé et respecté. »

http://www.lorient.maville.com/actu/actudet_-Football-Stephane-Pedron-La-fierte-d-avoir-porte-le-maillot-vert-_spo-868156_actu.Htm

Par Éric Horrenberger
www.ouest-france.fr

Voici les réactions des entraineurs de Ligue 1 après la 29ème journée disputée samedi 21 mars.

Rudi Garcia (entraîneur de Lille, victoire 2-1 contre Grenoble): «On a bien maîtrisé notre match et amplement mérité notre victoire. Le seul point négatif est de n'avoir pas su marquer un troisième but et se mettre à l'abri d'une réduction du score de Grenoble. Le groupe a su mettre l'accent sur la maîtrise collective, on n'avait pas les moyens de faire plus physiquement. C'est notre premier penalty de la saison et il a été bien tiré, mais c'est vrai qu'on avait un peu d'entraînement (après l'élimination face à Toulouse en Coupe de France aux tirs au but, ndlr). Je n'ai pas revu les images. On avait beaucoup d'absents ce soir, on s'est concentré sur les joueurs qu'on avait et je tiens à souligner l'apport d'un élément comme Tafforeau, qui a joué à un poste inhabituel. La trêve arrive au bon moment pour nous.»

Laurent Blanc (entraîneur de Bordeaux, victoire 3-0 au Havre): «Nous étions venus ici avec l'ambition de l'emporter même si nous respectons beaucoup nos adversaires. Je voulais deux victoires successives face à Nice et Le Havre, au plan comptable, le pari est réussi. Mais ce qui m'importe aussi ce soir, c'est le jeu. Je voulais que mes joueurs soient plus impliqués et c'est ce qui s'est passé. A partir de là, on a pu produire du jeu. Quant à la place de leader que nous occupons à l'heure où je vous parle, elle n'est qu'anecdotique. La question du titre n'est pas un sujet tabou chez moi, simplement je constate que nous n'avons peut-être pas les moyens de le décrocher. Mais peut-être qu'à 4 ou 5 matches du terme de ce championnat, je tiendrai un discours différent.»

Frédéric Antonetti (entraîneur de Nice, 2-2 contre Caen): «Ce nul est un moindre mal. On doit plier ce match dans la première demi-heure. Mais notre situation dans le ventre mou du classement n'est pas facile à gérer. Je le savais après notre élimination en Coupe de la Ligue. Lorsque la motivation est un peu en dedans, il n'y a pas de marge dans ce championnat. Il y a eu plusieurs parties dans cette rencontre: de très bonnes choses, des bonnes, des mauvaises et des très mauvaises. On a réalisé des séquences intéressantes avec le ballon mais on n'a pas été assez performant dans la récupération. Nous avons quinze jours de trêve pour analyser ensemble, tranquillement la situation et nous régénérer. Nous allons passer trois jours à Saint-Martin de Vésubie en stage».

Elie Baup (entraîneur de Nantes, défaite 0-2 à Marseille): «Les entrées de Zenden et Ben Arfa nous ont placés sur le reculoir. Nous n'avons pas retrouvé en deuxième mi-temps la solidité collective de la première, qui est le seul moyen par lequel nous pouvons nous en sortir, car nous n'avons pas ces individualités. Le deuxième but, intervenu rapidement après le premier, a été un grand coup sur la tête. Nous n'avançons pas, mais nous ne baissons pas la tête, nous continuons à lutter, même si le Vélodrome n'est pas forcément le meilleur endroit pour le faire. Nous allons souffrir jusqu'à la 38e journée, il faudra prendre 12 points d'ici là pour espérer le maintien». (AFP)

Pas moins de 3 anciens stéphanois ont marqués vendredi soir pour le compte de la 28ème journée de National

- Un but de Stephen Vincent et d'Eric Bauthéac ont permis à Cannes d'aller battre l'Entente SSG 2 buts à 1. Cannes est 4ème au classement.
- Lors de la rencontre Arles-Sète, Samy Houri a marqué le second but de son équipe. Victoire 3-1 d'Arles. Arles est 3ème au classement.

Voici les réactions des entraineurs de L2 passés par Saint-Etienne pour la 28ème journée

Yvon POULIQUEN (entraîneur de Metz, victoire 1-0 contre Châteauroux ) : « Cela faisait longtemps que je n’avais pas vu mon équipe en dedans comme ça, aussi à la peine physiquement et techniquement. C’est certainement notre match le moins abouti à domicile. On a démarré la tête à l’envers et on n’a jamais été capables de la remettre à l’endroit. Si on rentre menés à la mi-temps, il n’y a rien à dire... C’est un petit miracle de prendre trois points mais, dans notre position, ils vont compter. Les joueurs n’ont pas lâché malgré les difficultés qu’ils ont rencontrées tout au long du match et si on ne méritait pas de gagner, on a su le faire. »

Olivier PANTALONI (entraîneur d’AC Ajaccio, 1-1 contre Troyes ) : « Sur la physionomie du match, cela aurait pu être pire, car nous avons été confrontés à une forte opposition. Troyes nous a posé des problèmes, c’est finalement un bon point de pris. »

Daniel SANCHEZ (entraîneur de Tours, victoire 2-0 contre Clermont) : « La barre des 42 points est atteinte à dix journées de la fin, c’est super. Il fallait être très sérieux et efficaces, car Clermont n’a rien lâché. Il va falloir se définir de nouveaux objectifs maintenant.

Thierry LAUREY (entraîneur d’Amiens, défaite 0-1 contre Nîmes) : « Ce fut tout et n’importe quoi au cours de la première mi-temps durant laquelle Nîmes a eu beaucoup d’occasions. La qualité de notre match m’inquiète. C’était calamiteux et je comprends la réaction du public qui était mécontent. »

PhilippeMONTANIER (entraîneur de Boulogne-sur-Mer, victoire 2-0 contre Vannes) : « Tout n’a pas été parfait mais je suis satisfait du match et de la victoire. On retrouve des couleurs. Je sentais une certaine nervosité à domicile. Mais on a fait preuve d’une grosse solidarité défensive. »

2 anciens stéphanois sont encore qualifiés pour les quarts de finale de la Ligue des Champions.
Il reste Nabil El Zhar (Liverpool) et Freddy Guarin (Porto)

Le tirage des 1/4 de finale

Villarreal - Arsenal
Manchester United - Porto
Liverpool - Chelsea
Barcelone - Bayern Munich

Voici les réactions de Frédéric Antonetti et Laurent Blanc à l'issue de Bordeaux-Nice (2-1)

Frédéric ANTONETTI (entraîneur de Nice) : « Le match a prouvé qu’on pouvait faire mieux puisqu’on a réussi à rivaliser avec Bordeaux. Je regrette ces deux buts encaissés sur des retours de coups de pied arrêtés. On a montré un beau visage et je félicite mes joueurs malgré la défaite. Il faut retenir la leçon et rééditer ce genre de performance pour progresser et franchir un cap dans le futur. » – L. L. 

Laurent BLANC (entraîneur de Bordeaux) : « Toutes les victoires font du bien mais celle-là encore plus car elle survient après un non-match à Toulouse. Les joueurs ont donné leur meilleure réponse sur le terrain, en faisant un match de qualité, surtout en première mi-temps. Il y a eu du jeu, on a retrouvé certaines vertus techniques même si on a concédé trop de choses à Nice. Je remercie le public qui a fait un bon match lui aussi ce soir, surtout après la déception à Toulouse (0-3). Nous sommes tous unanimes à dire que février a été mauvais pour Bordeaux sur le plan comptable mais on voit qu’après chaque match le classement va changer. Bordeaux a cinquante points à dix journées de la fin, ce n’est pas si mal. » – J.-M. B

En prime, les déclarations de David Hellebuyck et Jêrome Alonzo.

David HELLEBUYCK (milieu de Nice) : « Nous avons eu de grosses occasions mais nous n’avons pas su les mettre au fond. C’est ce qui a fait la différence. Il faut progresser là-dessus si on veut espérer quelque chose un jour. Il y avait la place pour réussir quelque chose ce soir mais après, quand tu prendsun second but dès le débutde la deuxième mi-temps, c’est très dur de revenir. » –

Jerome Alonzo : « Les frappes dans la lucarne, ça suffit ! protestait le gardien nantais. Il ne s’agit pas de montrer un coupable. Ce n’est pas un seul joueur mais un bloc qui a reculé. Et on ne peut pas arriver au Vélodrome sans avoir évoquer au préalable ce but. On ne peut pas continuer comme ça. On y va tout droit ! À un moment donné, tout se disloque. Il faut s’apprêter à fêter le maintien au 31mai au soir alors que nous pourrions être tranquilles. »

Voici les réactions des entraineurs passés par Saint-Etienne à l'issue de la 27ème journée de Ligue 2

 Jean-GuyWALLEMME (entraîneur de Lens, défaite 0-1 contre Ajaccio) : « Notre première période a été très fade. La seconde a été un peu meilleure. On perd mais, paradoxalement, on se crée pas mal d’occasions. On a manqué d’efficacité sur le but que nous encaissons et dans les vingt derniers mètres. On a au moins eu l’opportunité de revenir au score. Si on avait fait match nul, il n’y aurait pas eu scandale. On a pourtant eu de la percussion sur les côtés, mais il nous a manqué la dernière passe, le dernier geste pour marquer. »

 Yvon POULIQUEN (entraîneur de Metz, défaite 2-3 à Sedan) : « On a fait ce qu’il fallait en première mi-temps en menant au score. Mais, par la suite, on a failli sur le plan défensif et collectif. Il va falloir remédier à cela dans les onze matches qu’il nous reste à jouer. »

 Philippe MONTANIER (entraîneur de Boulogne-sur-Mer, défaite 0-1 à Châteauroux) : « On a fait un match correct mais c’est encore insuffisant face à une équipe qui joue son maintien. Nous sommes sur une série de mauvais résultats et l’équipe perd confiance peu à peu. »

 Thierry LAUREY (entraîneur d’Amiens, défaite 1-2 à Vannes) : « Il y a forcément une grosse frustration. Nous avons fait ce qu’il fallait pour nous mettre dans des conditions idéales. Ce but aurait dû nous rassurer alors qu’il nous a fait perdre nos repères. On savait que Vannes était une équipe très difficile à manœuvrer et que Talmont montait systématiquement au premier poteau sur les corners. »

- Daniel SANCHEZ (entraîneur de Tours, victoire 1-0 à Brest) : « On devient enfin conquérants à l’extérieur. C’est une soirée satisfaisante. La manière était intéressante, avec une très bonne première mi-temps. »

Yvan BOUGET, gardien de but de Firminy, est sélectionné avec l'équipe Rhône-Alpes pour disputer la coupe des régions UEFA . Le 1er match est le 14 mars 2009 contre la ligue d'Auvergne à Cournon.

Après les rencontres de Ligue des Champions de cette semaine, de nombreux anciens Verts sont sortis dès les 8èmes de finale.

- Grégory Coupet (Atletico Madrid) est éliminé par Porto (2-2 ; 0-0). Il n'a disputé le match retour.

- Helder Postiga (Sporting Portugal) éliminé par le Bayern Munich (0-5 ; 1-7). Blessé, il n'a pas joué le match retour.

- Frédéric Piquionne (Lyon) sorti par le FC Barcelone (1-1 ; 2-5). Il n'a pas joué non plus le match retour.

Il ne reste donc que Freddy Guarin avec Porto en course, qui n'a pas joué, lui aussi, le match retour contre l'Atletico Madrid.

Toujours bon pied bon oeil à 35 ans, l’attaquant et capitaine virois Ted Agasson a inscrit, samedi face au PSG (1-0), son 10e but en CFA. Une réalisation qui a permis au promu essonnien d’enlever un troisième succès consécutif et de revenir à un point du leader, Plabennec, avant d’aller défier Pontivy (dernier) samedi prochain.

Que s’est-il passé pour que vous passiez d’une série de huit matchs sans victoire à ces trois succès d’affilée ?

Ted Agasson. On s’est parlé, on s’est dit en face ce qui n’allait pas. Tout le monde s’est remis en question. On a retrouvé un groupe soudé, qui tire dans le même sens. Il fallait surtout se concentrer à ne plus prendre de buts et à faire plus d’ef- forts de repli, nous les attaquants. On peut aussi s’appuyer sur des milieux défensifs solides. Résultat : on n’a encaissé qu’un seul but en trois matchs, alors qu’on avait l’une des plus mauvaises défenses du groupe.

 La montée est-elle devenue un objectif pour les joueurs ?
On en parle sans s’enflammer, car tout peut aller très vite. On n’oublie pas où on était il y a encore quinze jours. On y pensera peut-être un peu plus si on gagne à Pontivy, où on ira avec méfiance.

Personnellement, on ne vous arrête plus…
Comme la saison dernière, je prends du plaisir à évoluer dans cette équipe, grâce aussi au coach (Stéphane Cabrelli), qui joue de manière offensive avec quatre attaquants. Et ça marche. J’ai égalé mon total de buts de la saison dernière. Maintenant, c’est du bonus.

Source : Le Parisien

Voici les déclarations des entraineurs de Ligue 2 passés par Saint-Etienne en tant que joueur ou entraîneur après la 26ème journée.

Philippe MONTANIER (entraîneur de Boulogne-sur-Mer, défaite 0-1 contre Brest) : « Les matches à la maison se suivent et se ressemblent. On paie cash la moindre erreur. On ne parvient plus à enchaîner les résultats positifs. Nous souffrons actuellement d’une inefficacité défensive et offensive. »

Daniel SANCHEZ (entraîneur de Tours, victoire 4-3 contre Troyes) : « On a très bien joué pendant soixante- quinze minutes. Troyes a failli revenir, certes, mais il ne faut pas oublier qu’on marque quatre buts, qu’on prend trois points et qu’on a douze points d’avance sur le premier relégable. »

Yvon POULIQUEN (entraîneur de Metz victoire 2-0 contre Dijon) : « Nous avons eu du mal à mettre du rythme alors que c’était notre intention initiale. Nous y sommes juste parvenus en début de seconde période. Sans réussir à concrétiser toutefois et, à 1-0, on n’est jamais à l’abri. Mais nous avons pris trois points et c’est le plus important. Strasbourg et Montpellier ont gagné, le match entre Lens et Angers sera intéressant lundi. Boulogne décroche un peu. La décision se fera peut-être lors de la dernière journée. L’effectif est conscient que rien n’est acquis. »

Nice Premium : Vous avez passé plus de dix ans à Saint-Etienne. Pourquoi avez-vous quitté le club à la fin de la saison 2006/2007 ?

Julien Sablé : (Il souffle). J’ai encore du mal à comprendre comment on en est arrivé là avec Saint-Etienne. Lorsque je disais vouloir faire ma carrière là-bas, ce n’était pas des paroles en l’air. J’étais annoncé partant depuis deux saisons. La dernière année, j’aurais dû rejoindre Toulouse avec Elie Baup. Ivan Hasek m’avait demandé de rester et j’en avais fait une question d’honneur. Cela a été l’année de trop après dix ans en équipe première, sans compter les années de formation.


NP : Que s’est-il passé ?

JS : Je pense qu’on en avait marre de moi. On m’a mis habilement des bâtons dans les roues car je n’ai jamais pris quelqu’un la main dans le sac en train de dire que l’on ne voulait plus de moi. Mais j’ai compris que mon départ était un soulagement pour tout le monde. Après, je ne suis même pas retourné à Saint-Etienne tout de suite car c’était trop dur. Je n’y ai remis les pieds que six mois après. Encore aujourd’hui, j’ai du mal à revenir même si j’y ai des amis. C’est toute une vie que j’ai laissé.


NP : Avez-vous des regrets ?

JS : Non. Je ne regrette pas d’être parti car c’était fini. Je savais que c’était la fin d’un cycle. Saint-Etienne est un grand club où l’on demande beaucoup. Comme je représentais les valeurs du club et que j’étais issu du centre de formation, on m’en demandait plus. Cependant, j’étais dans une période où je ne pouvais pas donner plus. Mon caractère fait que je parle parfois trop vite et les choses se sont envenimées avec Hasek alors qu’au départ, tout se passait très bien. Mais beaucoup de points ont fait que cela n’était plus tenable pour personne. Autant partir avec une belle image.


La suite de l'interview sur Nice Prenium

Le défenseur sochalien Damien Perquis a profité de son passage devant la presse, hier soir, pour répondre à Bernard Genghini, responsable de la cellule de recrutement du club, après un article publié dans le quotidien local Le Pays, cette semaine. « Je voudrais faire une dédicace à Bernard Genghini qui a expliqué dans un article que la défense prenait trop de buts, a-t-il lancé en souriant. Eh bien voilà, on n’a pas pris de but aujourd’hui. Alors merci Bernard ! Il faudra qu’il le dise plus souvent... Je le taquine, hein... »

Source : L'Equipe